Ariana Grande et Cynthia Erivo électrisent le box-office avec Wicked II
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Le monde magique d’Oz n’a jamais été aussi vibrant. Pour son deuxième week-end sur les écrans nord-américains, Wicked : Partie II s’est imposé comme un véritable phénomène culturel, récoltant plus de 150 millions de dollars dès ses premières séances. Un démarrage fulgurant qui confirme l’immense attente autour de ce deuxième chapitre signé Jon M. Chu, déjà à l’origine d’une première adaptation ovationnée en 2024.
Deux héroïnes qui captivent le public féminin
Au cœur de cette suite, deux figures féminines qui fédèrent : Ariana Grande, dans la peau pétillante et lumineuse de Glinda, et Cynthia Erivo, impressionnante en Elphaba, continue de bouleverser par son intensité. Leur duo, à la fois fragile et puissant, porte ce récit où l’amitié, la sororité et le courage féminins priment face aux intrigues du Magicien et de Madame Morrible.
Le film, fidèle à l’esprit de la comédie musicale de Broadway mais enrichi d’une esthétique contemporaine, offre un spectacle généreux, tout en émotion et en énergie. Pour beaucoup de spectatrices, cette seconde partie devient un moment de « feel good cinema » assumé, un plongeon dans un univers où la différence se transforme en force.
Un succès qui survole la concurrence
Avec un démarrage qualifié de « sensationnel » par les analystes, Wicked : Partie II laisse loin derrière les autres sorties du week-end. Insaisissables 3, malgré un casting solide et une ambiance plus sombre, n’atteint que 9,1 millions de dollars. En troisième position, Predator : Badlands séduit les amateurs d’action, mais reste loin du souffle musical et émotionnel de Wicked.
Le reste du classement confirme une semaine dominée par la magie féminine : de Running Man à Rental Family avec Brendan Fraser, aucune production n’a rivalisé avec l’ampleur du phénomène.
Pourquoi Wicked plaît autant aux femmes ?
Parce qu’au-delà du spectacle, Wicked raconte des trajectoires de femmes qui se cherchent, s’émancipent, s’affirment et refusent de se laisser enfermer dans des cases. Parce qu’il y a de la vulnérabilité, de la puissance, du rêve, du doute, de la musique… un cocktail auquel le public féminin répond volontiers.
Et surtout, parce qu’en 2025, voir deux héroïnes complexées, brillantes et imparfaites tenir une superproduction au sommet du box-office a quelque chose de rafraîchissant — et d’inspirant.
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