

Chanel Eye Candy : quand les lunettes deviennent des manifestes de style
Quatre icônes, mille attitudes. Pour son printemps‑été 2025, Chanel place la barre haute et les verres encore plus. Devant l’objectif ultra‑graphique de Karim Sadli, Lupita Nyong’o, Margaret Qualley, Nana Komatsu et Kendrick Lamar jouent les miroirs de notre génération. Pas de décor inutile : des portraits ciselés qui laissent parler les montures — véritables fenêtres sur l’âme créative du quatuor.
Cadres couture, aura rétro‑future
Fines signatures métalliques qui accrochent la lumière, silhouettes vintage twistées au cordeau : cette ligne conjugue l’audace de Gabrielle Chanel à une précision millimétrée. Oversize papillon, rectangulaire bijou ou solaire XXL… chaque paire distille ce mix inimitable de chic parisien et de cool contemporain.
4 muses, 4 vibes
Lupita Nyong’o
Première campagne officielle pour l’actrice‑auteure oscarisée. « Chez Chanel, la liberté féminine n’est pas un slogan mais une coupe parfaite », confie‑t‑elle en ajustant des solaires bicolores aussi confort que spectaculaires.
Margaret Qualley
Ambassadrice de la Maison depuis ses 16 ans, l’héroïne de The Substance se glisse derrière un masque fumé façon Hepburn : « Ces lunettes renferment du mystère… On se sent prête à inventer son propre secret. »
Nana Komatsu
L’égérie nippone joue la carte paradoxale en mixant monture œil‑de‑chat et veste tweed punkisée : « Chez Chanel se rencontrent force & délicatesse, moderne & classique. Exactement mon mood. »
Kendrick Lamar
Seul homme du casting, le rappeur‑poète prix Pulitzer opte pour une ligne noire ultra‑pure : « Chanel, c’est l’héritage intemporel. Les lunettes en sont l’expression la plus directe. »
Pourquoi on craque ?
Parce qu’en un battement de cils, ces lunettes upgradent tout : pull cropped + jean loose prennent des airs de front row, robe minimaliste devient statement. Et surtout parce qu’elles revendiquent un luxe à 360° : design responsable, confort seconde‑peau, audace assumée.
Tip de rédac’
Envie de tester ? Passez du mode « I‑see‑you » au « don’t‑touch‑my‑vibe » avec la même monture : verres transparents en réunion, verres fumés pour l’after‑work — le crush versatile par excellence.